Dans la série « démesure », je voudrais … le Sigma 200-500 f/2.8 – 400-1000 f/5.6 EX DG ! … Ah c’est sur qu’une ouverture maximale constante à f/2.8 de 200 à 500mm ca fait rêver sur le papier.
Maintenant quand on regarde la vidéo … ben on se dit que les lois de l’optique ont, sans surprise, quand même quelques contraintes qui se payent (au sens propre comme au sens figuré du reste !), même si ça reste un beau bébé.
Allez … juste pour le coup d’oeil 😉
Le 500 f/4 L IS USM fait partie de la série des « Grands Blancs » de Canon. C’est l’objectif de référence pour le photographe animalier. La dernière version (la II, en photo ci-dessus) a été allégée de 710g, grâce à l’utilisation de matériaux composites et de titane, et le piqué (déjà impressionnant sur la version I) a été encore amélioré afin de répondre aux exigences des derniers capteurs.
En attendant de « craquer » un jour* voici une vidéo tout à fait intéressante présentant les différentes étapes de fabrication de la version I qui est déjà un condensé de technologies et d’assemblage à la main, s’il vous plait !
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Rien de tel que marcher sur un sentier de randonnée en Auvergne pour se dire qu’on est vivant ! Que l’air y est bon et vivifiant ! A 4h de Paris, Murol et ses environs, situés au pied du massif du Sancy, sont sans conteste une valeur sûre ! Les locaux sont accueillants et la tradition, façonnée par un environnement rugueux et exigeant, encore bien présente.
Après y être allé en été il y a 6 ans, cette fois-ci nous avons profité de quelques jours pour découvrir un temps et des couleurs un peu différents 😉 Soleil, neige et vent ont tour à tour été de la partie, mais en choisissant bien les types de terrain (à découvert sur un plateau ou à l’abris en forêt), il fut finalement possible d’en profiter pleinement. Côté gastronomie, l’aligot, la truffade ou la fondue au Saint-Nectaire furent les bienvenus pour nous remettre de nos efforts 😉
Ca faisait 1 an que je n’étais pas revenu au Bois de Vincennes, situé désormais un peu trop loin de chez moi . Par ce beau dimanche de mars, j’ai tenté une sortie, mais en arrivant au lac des minimes la déception fut grande ! 1 héron, 3 bernaches du canada, 1 cormoran, 1 grèbe huppé, des mouettes, des canards … mais aucune activité ! L’ennui …
Je me suis donc décidé à changer de coin histoire d’aller voir mes petits écureuils. Bien m’en a pris, car à peine arrivé sur place que j’apercevais déjà deux écureuils à la recherche de nourriture. Je me pose à terre dans un petit fossé qui me permet de bien me cacher et ça ne loupe pas : 10 min après nos deux écureuils descendent de l’arbre sur lequel ils s’étaient réfugiés à mon arrivée, trop curieux pour rester à distance … ils s’approchent même à moins de 2 mètres, soit en dessous de la MAP mini que j’avais paramétrée sur mon 300 f/4 ! Gonflés les gaillards !
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Acheté en mai 2012 et après 7000 clichés, autant le dire clairement, le Canon 5D Mk III est un boitier qui continue à m’enchanter. Non pas qu’il n’ait pas de petits défauts (que je considère davantage comme des points d’amélioration que comme des défauts), j’y reviendrai, mais la première impression d’homogénéité continue plus que jamais à être la philosophie de ce boitier.
Je ne suis pas un photographe professionnel, donc mes attentes sont peut-être (sûrement) différentes de ce que doit en attendre un pro, mais à l’usage je ne lui trouve vraiment pas de cas d’utilisation dans lequel il est vraiment mis en défaut, et à mes yeux c’est un énorme progrès par rapport à son prédécesseur. En effet, pour avoir utilisé le Mk II pendant 1 an, je me souviens très clairement de ce sentiment de « terrain de jeu limité » que je ressentais avec ce boitier, ce qui explique d’ailleurs pourquoi j’avais acquis en parallèle un 7D, bien plus adapté à la photo animalière.
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